Théâtre National June 2024 En italien surtitré en allemand et français

Aïda

Opera en quatre actes de Giuseppe Verdi | Livret d'Antonio Ghislanzoni
En italien surtitré en allemand et en français

L’avant-dernier opéra de Verdi, une commande de composition pour le nouvel Opéra du Caire, évoque des images de l’ancien empire pharaonique avec ses temples et ses pyramides. Mais au-delà de tout décor exotique, l’opéra cache une histoire triangulaire archétypale d’amour et de jalousie, de pouvoir et d’abus de pouvoir, d’images d’ennemis et de leur démasquage.

L’esclave éthiopienne Aïda aime le chef militaire égyptien Radamès et devient ainsi la rivale de la fille du pharaon Amneris, qui espère en vain un amour réciproque et qui, malgré sa puissance, doit finalement reconnaître sa propre impuissance.

Cette alternance de sentiments a incité Verdi à écrire l’une de ses partitions les plus complexes, qui comporte aussi bien des scènes de foule que des études psychologiques détaillées : le grand opéra choral rencontre la pièce de chambre.

Distribution

Direction musicale

Stefan Neubert

Licht

Susanne Reinhardt

Dramaturgie

Stephanie Schulze

Choreinstudierung

Jaume Miranda Mauro Barbierato

II Re

Hiroshi Matsui

Amneris

Judith Braun
Khatuna Mikaberidze

Aida

Ingegjerd Bagøien Moe

Radames

Milen Bozhkov

Radamès

Angelos Samartzis

Ramfis

Markus Jaursch

Amonasro

Peter Schöne

Un Messaggero

Algirdas Drevinskas
Jon Jurgens

Sacerdotessa

María Sól Ingólfsdóttir

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Mutter Erde: Inga Brandel/Ingrid Korb

Video & Photo
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Voix de presse

»Einmal mehr trumpft Angelos Samartzis als Radamès mit enormen Volumen auf, Feuer und Klangschönheit zeichnen seinen Tenor sowieso aus (…) Ohne Abstriche grandios aber wie Ingegjerd Bagøien Moe diese Aida zu ihrer Rolle macht. Hin- und hergerissen zwischen Vater – souverän Peter Schöne als Amonasro – und Vaterland Äthiopien einerseits und der Liebe zu Radames, der eigentlich als Ägypter ein Feind sein muss. Zu rasierklingenharter Schärfe treibt sie ihren Sopran, wenn das Schicksal zuschlägt.«

Oliver Schwambach, Saarbrüvcker Zeitung, 10. Juni 2024

»Schmitts Inszenierung lässt kaum Wünsche offen. (…) Gewinner sind die Zuschauer. Verdis ›Aida‹ ist das Opernhighlight der Saison.« Mehr lesen ...

saartext, Oliver Sandmeyer, 10. Juni 2024

»Ein starkes Bühnenbild mit toller Ausstattung. (…) Markus Jaursch in der Rolle des Oberpriesters Ramfis gehört ohne Frage zu den gesanglichen Highlights des Opern-Abends und natürlich die Aida selbst, von der starken Sopranistin Ingegjerd Bagøien-Moe interpretiert.(…) Alles in allem also ein Opern-Abend, streng nach dem Shakespeare-Motto ›Was ihr wollt‹ - und gemeint ist damit das Publikum. Solide, bisweilen bombastisch und der Rest besorgt die Musik - ganz so ›wie es euch gefällt.‹«