Aufbrüche. Départs
Il faut toujours que quelqu'un parte quelque part. Ce mot est synonyme de dynamisme, de commencement et de premier pas. Mais il a aussi quelque chose de violent ; on ne peut partager quelque chose que si on surmonte une résistance par la force. Et l’on peut s'ouvrir à une nouvelle phase de la vie.
Les départs sont toujours à double tranchant : une opportunité et un danger, les premiers pas dans un monde inconnu ou un mouvement au mauvais moment. Néanmoins, nous percevons un départ essentiellement comme positif. Parce que nous sommes curieux, parce que nous voulons « créer » quelque chose ou simplement parce que nous sommes impatients d'atteindre notre objectif.
Le Ballet National de la Sarre s'est donné pour mission de confier régulièrement la responsabilité de soirées de danse à de jeunes chorégraphes prometteurs. Cette soirée sera créée par le Munichois Moritz Ostruschnjak, qui a notamment dansé à Nuremberg, Mannheim, Arnhem et Göteborg, et Marioenrico D'Angelo, qui a dansé au Théâtre National de la Sarre de 2013 à 2018.
Choreographie
Bühnenbild
Kostüme
Licht
Patrik Hein
Einrichtung Wiederaufnahme
Patrik Hein
»Marioenrico D’Angelo und Moritz Ostruschnjak standen als Tänzer auf der Bühne, bevor sie ins Choreografen-Fach gewechselt sind. In der Alten Feuerwache des Staatstheaters konnte sich das begeisterte Publikum davon überzeugen, dass die „Aufbrüche“ der beiden gelungen sind.«
Saarbrücker Zeitung, Silvia Buss, 16. Mai 2022